vendredi 12 décembre 2014

Chronique : Millenium, tome 4 (Runberg & Man)


Résumé

Les pistes que suivent, chacun de leur côté, Lisbeth Salander et Mikael Blomkvist se rejoignent peu à peu pour n'en faire plus qu'une, sur les traces de l'énigmatique et dangereux Zala. Chef de gang à la tête d'un réseau de trafic de prostituées, il n'est autre que le père de Lisbeth, dont on continue de découvrir le douloureux passé. Recherchée par la police pour des meurtres qu'elle n'a pas commis, elle traque le moindre indice susceptible de localiser cet homme, source de tous les malheurs de sa famille, jusqu'à le débusquer dans son QG. Pendant ce temps, convaincu de l'innocence de Lisbeth, Mikael enquête de son côté malgré la désapprobation grandissante d'Erika et de sa rédaction. 


Mon avis


C'est un rituel, et même une collection : chaque fois que le nouveau tome de Millenium en BD sort, mon copain me l'offre. J'avais tellement adoré les livres que c'était tout naturel. Comme vous avez pu le lire dans mes avis précédents (1, 2 et 3), malheureusement la BD ne rencontre pas le même succès. Je persévère malgré tout.

De manière assez logique, mes chroniques se suivent et se ressemblent. Je suis obligée de me répéter car ce sont les mêmes défauts qui reviennent : transitions rapides et incompréhensibles entre les scènes (les personnes n'ayant pas lu les romans n'y comprendront rien, je pense), et même une énorme modification dans l'histoire. Cette dernière m'a dressé les cheveux sur la tête, tant elle était inutile et moins intéressante que la version originale.. Si je peux comprendre les adaptations dans les films, j'avoue que dans une BD cela me laisse perplexe.

Il me reste encore deux tomes à lire, mais ce n'est plus vraiment un plaisir. Les BD ne retranscrivent pas tout ce qui était intéressant et profond dans l'histoire de Lisbeth. Surtout en faisant des modifications totalement arbitraires.

Malgré tout, je m'accroche car je suis optimiste et j'espère toujours que le prochain tome sera meilleur que le précédent. Comme je le disais, je préfère avoir une jolie collection complète dans ma bibliothèque, même si cela peut paraître idiot.

Lisbeth, je t'aime malgré tout ! 

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